Monday 10 December 2012

suite......

Okay j'aurais aimée metre plus d'informations mais je vais vous dire que je n'ai pas vraiment pas comprit le tout du video, je ne sait pas si c'était juste parce que ma tête n'était pais la ou bien ci c'était parce que leur langage était un peu plus complexe. J'ai trouvée des fiches Power Point qui était avec le video et même en regardant ces fiches je n'ai pas mieux comprit alors si vous le voulez je suggère que vous allées visionner se video a votre tour. J'espère que vous allez comprendre mieux que moi.

Une approche litteratiee pour apprendre la langue et les sciences

Premièrement je veux juste dire que c'est plus difficile de faire un sommaire d'un video que d'un article, j'ai du arrêter le video plusieurs fois et de le recommencer. Je pense aussi que j'ai manquer des choses que la madame disait alors je ne pense pas que j'ai appris autant de ce video que ci ceci aurait été en forme d'article.

Okay, voici mon sommaire. J'ai pris de ce video que c'est plus difficile de faire les élèves apprendre le français en même temps que tu les enseigne un autre sujet comme les sciences. Ils trouvent qu'il y a plus d'inffasse sur le contenue scientifique que sur le français.

J'ai enseigner la religion en immersion et j'ai trouvée que c'était beaucoup plus difficile, j'ai aussi trouver que j'utilisait beaucoup plus d'anglais pendant mes leçons car je trouvais que les élèves ne comprenaient pas aussi bien en français.

Je mes plus de renseignement bientôt.

Sunday 9 December 2012

la lecture informative


Jovette Gagnon - la lecture informative 


Dans cet article Gagnon discute de l'importance de la lecture informatique. Gagnon discute également des stratégies nécessaires pour faciliter la tâche du lecteur afin de mieux comprendre les textes informatiques.

Pour débuter Gagnon discute des textes courants qui sont utiles pour les élèves. Les textes courants veulent simplement dire des textes ou les gens apprennent un nouveau sujet. Les textes courants sont importants à lire et à discuter dans un cours de français, car ça permet au lecteur d'être mieux informé sur un certain sujet. Les élèves vont également voir des textes informatiques dans leurs vies de tous les jours tels que des recettes, des nouvelles, des revues scientifiques etc.


Pour continuer à ce sujet Gagnon discute du rôle de l'enseignant en présentant des textes courants. Le rôle de l'enseignant est d'encourager la curiosité. L'enseignant peut réfléchir à haute voix pour démontrer comment il interprète le texte. L'enseignant peut également décrire aux élèves comment le texte ce rapport à sa vie. L'enseignant doit préparer des activités pour avant, durant et après la lecture du texte afin de mieux comprendre. Avant la lecture du texte l'enseignant doit avoir une activité de ce que les élèves connait au sujet du texte, durant la lecture l'enseignant doit avoir une activité sur comment le texte ce rapport à la vie de l'étudiant et après la lecture du texte une activité pour voir ce que l'élève a appris.

Pour en dire plus à ce sujet il y a des mérites de parler oralement de ce que l'élève a appris. En parlant oralement du texte courant les élèves ajoutent un nouveau vocabulaire qu'ils peuvent maintenant utiliser oralement mais également lorsqu'ils écrivent. L'élève en utilisant le texte informatique sera capable d'apprendre de nouveaux termes et enrichir sa lecture.



Gagnon discute que les textes courants sont très importants dans un cours d'immersion. Les élèves apprennent de nouveaux vocabulaires, de nouvelles stratégies telles que comment le texte affecte sa vie et apprennent comment écrire un texte courant eux-mêmes.













Thursday 6 December 2012

Les six caractéristiques d’un enseignement efficace de la lecture au niveau élémentaire – Richard Allington


Les six caractéristiques d’un enseignement efficace de la lecture au niveau élémentaire – Richard Allington

Richard Allington observe les enseignants au niveau élémentaire pour découvrir les six caractéristiques qui font un bon enseignant. En premier est le temps. Les enseignants efficaces consacrent la moitié de la journée à l’écriture et à la lecture et l’autre aux activités. Les activités sont interactives. Le bénéfice de la lecture est l’occasion de consolider les habiletés et les stratégies. Cela leur permet de réaliser d’autres sorts de lectures. La deuxième est les textes. Il faut fournir des livres pour qu’ils lisent. L’idée « lire avec succès » est quand on lit un texte facile à comprendre avec aisance. Cela influence leurs motivations. Les élèves ne doivent pas lire les mêmes livres ; ils ont du choix. Comme cela, ils ont une gamme de niveaux de difficulté et de genre.

La troisième est l’enseignement. Le bon enseignement est actif, direct, a des manuels appropriés et utilise des stratégies cognitives employés (le décodage, l’auto-correction) par les bons lecteurs. Les enseignants construisent des activités que tout le monde est capable de faire. La prochaine est la discussion. Les enseignants favorisent la discussion qui reflète la matière du cours. Ils posent des questions qui suscitent beaucoup de « bonnes » réponses et demandent de la réflexion. L’essentiel est l’expertise de l’enseignant de bien faciliter une conversation.           

La cinquième est les tâches. Ils impliquent un choix des élèves même s’ils font le même devoir. S’ils pouvaient avoir un peu du contrôle par exemple, en choisissant un sujet, ils s’investiraient plus au devoir. La dernière est les tests. Les enseignants évaluent le progrès et les efforts des élèves. Ce système exige que les enseignants connaissent bien leurs élèves. Ce sont les six caractéristiques qui font du bon enseignement. Allington constate que ce système n’est pas compliqué ; un bon enseignement sera facile à réaliser si les conseils scolaires et les écoles assument de la responsabilité.

Tuesday 4 December 2012

It's not as hard as you think....
Including students with learning disabilities in core french.

Cet article de Dr. Katy Arnett était très intéressant, et encore plus intéressant après avoir rencontrée l'auteur. Elle a de très bonnes idées concernant les difficultés d'apprentissages et les cours de français comme seconde langue. Katy dit qu'elle croit que ce n'est pas difficile d'inclure des élèves avec des difficultés d'apprentissage dans les cour de français comme seconde langue car tous les élèves arrive a la classe avec un désavantage (ne pas connaitre la langue qu'ils vont apprendre).

Dans cet article Katy nous partage de ses stratégies qui ont aidée ses élèves a mieux être capable de comprendre la langue de français. Elle croit que la plus grande raison que ses élèves réussissent dans sa classe est parce qu'ils ont une relation avec leur enseignant. Les élèves vont prendre plus de risque si ils se sent en sécurité et s'ils ont confiance en leur professeur.

Si les eleves ont eu une mauvaise expérience auparavant avec une autre classe de français ça vas faire les élèves réticent envers cette classe et ils ne vont pas vouloir participer dans la classe alors tu doit pensée a des différente stratégies qui vont relier l'apprentissage a leur vie quotidienne.

Une des stratégies qu'elle a utilisée est de faire le questionnaire d'intelligences multiples pour voir comment ses élèves apprennent et ensuite elle peut mieux planifier ses leçons selon leur préférences/intelligences.

Katy nous dit aussi que les élèves qui ont été exposée a la langue de français auparavant vont être plus disposées a prendre des risque et ils vont participer beaucoup plus que les élevés qui n'ont jamais été exposées a la langue.  Les élèves avec les difficultés d'apprentissage doivent être exposée  a la langue encore plus que les autres élèves en forme de lectures et a l'orale. Katy dit que c'est mieux de juste enseigner en français et de mieux expliquer en français que de le faire en anglais car tu croit que les eleves vont mieux comprendre en englais car elle pense que l'anglais va confondre plus que d'aider.

Katy a donner autre exemple de stratégies qu'elle utilise dans cet article alors même que j'ai mieux aimer  la voir en personne et avoir eu la chance d'avoir participer a sa session aujourd'hui dans notre classe de français. Cette session m'a été très informative et très intéressante.



Monday 3 December 2012

Kathy Arnett- Inclusion

Inclusion


Kathy Arnett a étudié plusieurs classes d'immersions et de français cadres pour savoir que l'Inclusion est importante et nécessaire dans les cours de français. Elle a développé trois idées pour aider les enseignants à inclure leurs élèves dans les cours de français qui ont des difficultés.

La première idée c'est le désir d'aider à ceux qui ont de la difficulté. Les enseignants ne devraient pas juger la capacité de nos élèves en disant qu'ils n'appartient pas dans cette classe. Arnett discute dans son article qu'un enseignant ne devrait pas juger la capacité d'un élève en passant qu'il n'accéléra pas passer un certain point. Les enseignants devront encourager nos élèves et leur donner les ressources nécessaires pour le succès. Nous devrons aussi évaluer en tant qu'enseignant et nous devrons vouloir aider ceux qui ont de la difficulté.


La deuxième idée d'Arnett est qu'on devrait encourager "higher order thinking". En poussant les élèves de penser à un plus haut niveau cela aiderait les élèves en difficultés. C'est eux -même qui peuvent prendre en main leurs apprentissages et peuvent s'assurer que c'est plus que mémoriser.

La troisième idée est d'avoir une salle de classe qui encourage les multitudes intelligences. Arnett discute que les élèves en difficulté d'apprennent d'une autre manière alors en utilisant différents types d'apprentissage les élèves vont mieux comprendre. Un exemple qu' Arnett donne est d'avoir des manipulatrices des lettres pour que les élèves apprendre comment écrire.

Kathy Arnett a de bonnes idées d'inclusion pour ceux en difficulté cependant comme enseignant j'aurais aimé avoir un peu plus exemples pour essayer dans ma classe.

Sunday 25 November 2012

Why You’re Already an Inclusive Educator – Katy Arnett

Bonjour les filles! J'espère que vous passez de bons stages! J'ai hâte de vous voir :)

Voilà mon sommaire:


Why You’re Already an Inclusive Educator – Katy Arnett

Cet article parle des stratégies pour inclure tous les élèves dans la salle de classe. Il y a deux sortes de l’inclusion. Premièrement, « additive inclusion » est quand les élèves avec les difficultés scolaires sont intégrés dans la classe. Dans ce cas, leurs besoins d’apprentissages sont adressés à travers une série d’adaptations. La leçon reste le même mais les stratégies pour la transmettre sont différentes. Pourtant, « generative inclusion » est quand l’enseignant crée une leçon qui satisfait une grande gamme de besoins de plusieurs élèves.

            Ce qui est éprouvant pour les enseignants est que les capacités variées se présentent dans la classe : soit ils ont déjà étudié le français, soit ils ont récemment emménagé au Canada, soit ils n’ont pas de la motivation. En tout cas, les enseignements doivent satisfaire tous les besoins de ces élèves. Il est pour cette raison qu’il vaut mieux avoir « generative inclusion ». De cette façon, les élèves sont plus confortables et s’amusent plus.

            Cependant, il y a des fois où « additive inclusion » peut se trouver dans la salle de classe de français. Puisque il y a normalement un manque de ressources pour les classes de français, les enseignements doivent les modifier pour les utiliser en classe.  Elles sont les modifications réactives. De ce point de vue, ils emploient « additive inclusion » aussi.

            L’article nous conseille de consulter les collègues, l’administration et même les parents pour nous aider de créer une salle de classe inclusive. En nous donnant les suggestions, ce sera possible de le faire pour nous assurer la meilleure salle que possible pour tous les élèves.